Parler de sexe dans notre société, n’est pas une chose aisée et la libération sexuelle n’a absolument rien changé.
Parler de sexe reste tabou pour un grand nombre de personnes pour ce qui à trait à la pornographie, la prostitution, la frigidité, l’impuissance, l’homosexualité, l’addiction sexuelle ou autre.
De plus, on a le sentiment que rien n’a évolué. La sexualité reste vraiment un tabou qui est bien ancré dans la conscience collective.
Une catégorie de gens se contente de dire que le sexe est mal, que c’est impropre, ou encore, que c’est un péché.
Une autre catégorie de gens pense autrement. Elle trouve que le sexe est génial, au point d’en être obnubilé, et ne jure que par le sexe. Cette catégorie de gens est même d’accord pour dire qu’il faut satisfaire leurs fantasmes les plus fous.
Enfin, pour faire court, quand on regarde le monde de façon globale, rien n’a changé dans leur façon de voir le sexe.
Les hommes sont toujours aussi machos, et les filles ont cessé d’être choquées dès que l’on parle de sexe.
Elles finissent par se lâcher car finalement, l’univers du sexe ne constitue plus un problème, elles sont vraiment à l’aise avec ça.
C’est peu dire, elles osent même l’affronter tout en faisant part de leurs fantasmes les plus torrides. Des soirées sont organisées où l’alcool est servi avec abondance, et le fait que les jeunes soient désinhibés provoque l’insouciance ce qui les amène parfois à des actes insensés.
On oublie le préservatif, et on se livre également à l’ivresse.
Soulignons donc que la libération sexuelle n’a absolument rien réglé. Elle n’a fait que soulever le problème et le rendre facile d’accès pour tous.
Ainsi, les fantasmes envahissent l’esprit des jeunes et des moins jeunes, et continuent de diriger les gens au point de ne plus savoir se contrôler.
Pour ne rien arranger, les églises s’évertuent à interdire la capote et les psychiatres s’occupent de gérer le mal-être des gens dans la mesure du possible.
En tout cas, un grand désaccord règne sur la question de la sexualité. Nul ne détient un raisonnement favorable car le sexe continue de perturber le monde, y compris les prêtres.
La question est de savoir ce qu’il convient de faire avec nos fantasmes. Comment faut-il les gérer ? Y a-t-il en vérité une solution pour remédier à cela ?
Une chose est sûre, nous devons solutionner ce problème là nous-mêmes. Nous devons prendre en compte nos propres expériences et trouver une réponse nous-mêmes.
Quoi qu’il en soit, le sexe n’a pas lieu d’être tabou, il n’ pas à être un sédatif non plus.
Ce ne doit pas être une réponse au stress, ni être une drogue, ni être une solution de facilité et ne doit encore moins être une solution de garage.
Disons que le sexe doit rester un mystère sacré qui mérite d’être discuté sagement et avec respect.
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